AUTRE

  • Choisir une laisse pour son chien et éviter les problèmes

    Choisir une laisse pour son chien dépend de ce qu’on veut faire dehors, de l’éducation, des balades détente ou plus sportives… Et des lieux où on se promène et des caractéristiques physiques du chien… Ce n’est pas toujours un choix évident !

    Nous allons passer en revue les principales options et nous allons voir comment éviter les problèmes avec la laisse avant même de songer à apprendre la marche en laisse.

    La laisse en métal et la laisse en nylon

    La laisse métallique, « chaîne » ou « chaînette », est dotée d’une poignée en cuir, parfois rivetée ; on en trouve aussi avec des poignées en nylon. Chacun sa préférence. Quand ça tire fort, le cuir est peut-être un peu plus confortable.

    Si ça tire fort, vous allez essayer de remédier à ce problème mais avant tout, faites attention à la façon dont vous tenez la laisse.

    Une laisse pour chien en nylon est plus légère qu’une laisse en métal ; c’est confortable pour un chiot ou un chien de petite taille. Avec les modèles réglables, vous pouvez modifier la longueur d’une laisse en nylon, généralement il y a 3 réglages jusqu’à 2 m, grâce à des anneaux. Vous avez une laisse plus polyvalente, pratique pour alterner entre les endroits bondés et les endroits tranquilles.

    Mais c’est également pratique de raccourcir la laisse au besoin en l’entourant sur la main. C’est l’avantage des laisses en nylon (classiques, enfin disons « non réglables »), qu’il vaut mieux ne pas saisir avec l’autre main pour les raccourcir, car ça peut faire très mal si le chien tire fort brusquement.

    En tenant la laisse passée autour du poignet, un chien très fort peut vous entraîner et vous faire tomber. Vous ne pouvez pas lâcher la laisse rapidement.

    Tenir la laisse du bout des doigts n’est pas assez sécurisé même si votre chien ne tire pas fort.

    Vous pouvez faire passer le pouce dans la poignée.

    Et resserrer les doigts sur la poignée. Vous l’avez bien en main mais vous n’êtes pas « ligoté ».

     

    Et pour la raccourcir, vous l’enroulez au-dessus du pouce ; vous n’avez pas besoin de la tenir de l’autre main. Même si c’est un peu serré, c’est facile de vite lâcher. Il suffit d’ouvrir la main. Et ça reste plus sûr (et moins crispant) que serrer le poing sur une lanière de la poignée.

    La laisse de type chaîne métallique, vous pouvez la tenir avec l’autre main sans risquer de vous blesser si votre chien tire subitement. Ce n’est pas super pratique mais vous pouvez raccourcir une laisse en métal, occasionnellement ; disons que votre chien est à votre droite et la poignée dans votre main gauche, vous empoignez la chaîne de la main droite pour que votre chien reste tout près de vous. C’est bien pour quelques instants en attendant le bus, les enfants, le feu vert… (bon, vous tenez votre chien pour plus de sécurité, mais pour plus plus plus de sécurité, vous lui avez appris à attendre !).

    Ce n’est pas possible de faire toute une promenade de cette façon.

    Si la laisse à chaîne vous paraît appropriée, pour la choisir il faut penser à regarder la taille des maillons. Plus un chien est grand et plus il faut choisir de grands maillons.

    Quel que soit le matériau de votre laisse, il faut un système d’attache au collier simple et robuste. La plupart du temps, ce sont des mousquetons « pompe » qui pivotent. Pensez à regarder ce mousqueton de temps en temps.

    Certains se mettent vite à prendre du jeu.

    Ce mousqueton a pris du jeu à la base et au fermoir et n’est plus fiable.

    Certes, un chien peut saisir une laisse en nylon et tirer fort dessus, contrairement à la laisse en acier.

    Mais si votre chien attrape sa laisse, avant de changer de laisse, essayez de comprendre pourquoi. Changer de laisse dans le but d’éviter un comportement peut être efficace mais vous vous retrouvez parfois avec un autre comportement qui pose également problème.

    Ce chien n’a pas l’air d’aimer la laisse.

    Si votre chien déteste la laisse, ce n’est pas en changeant de laisse qu’il l’aimera plus.

    Avant d’apprendre la marche en laisse

    Avant d’apprendre la marche en laisse, il y a des étapes qu’il vaut mieux ne pas « zapper » pour votre chien : 1) lui faire apprécier son collier et 2) lui faire apprécier sa laisse. Parce que malgré les apparences, les chiens ne sont pas naturellement habitués à ces accessoires !

    C’est difficile d’attacher la laisse au collier ou harnais de votre chien ? Il lui arrive d’attraper sa laisse ? A t-il été habitué correctement ? A t-il été habitué tout simplement ? A t-il vécu de mauvaises expériences en laisse ? A t-il associé la laisse à des événements terrifiants ?

    S’il n’a pas été habitué, vous pourrez associer la laisse à de bonnes émotions. Mais s’il a associé la laisse à de très mauvaises émotions, vous devrez 1) tout faire pour qu’il n’ait plus l’occasion de vivre ce qui a créé le malaise ou la peur + 2) associer la laisse à de bonnes émotions.

    Après vous être assuré que votre chien apprécie de porter son collier ou harnais, prenez aussi le temps de lui faire vivre des moments agréables en laisse.

    A titre d’exemple et dans les grandes lignes : le récompenser pour aller renifler la laisse alors qu’elle est par terre, pour rester près de vous quand vous posez la main sur la laisse par terre, pour avoir pu toucher son collier du bout des doigts alors que la laisse est par terre, pour rester près de vous lorsque vous prenez la laisse pour la soulever du sol, pour rester près de vous alors que vous avez la laisse dans la main et l’autre main qui touche son collier, etc.

    Lorsque vous avez pu accrocher la laisse (pas trop longue), laissez votre chien vadrouiller avec, librement, chez-vous (enlevez ce à quoi la laisse risque de s’accrocher).

    Votre chien paraît à l’aise : prenez le temps de vous amuser. Attrapez la laisse, mais d’abord pour l’inviter à jouer ou bien simplement pour le récompenser de ne pas être parti loin de vous ! (vous pouvez procéder de cette façon avec votre chiot qui vient d’arriver à la maison, afin de prévenir des « comportements anti-laisse » !).

    Augmentez progressivement la durée pendant laquelle votre chien est attaché.

    Commencez par une petite sortie dans l’endroit le plus calme possible et continuez d’être amusant et de faire naître de bonnes émotions tout en étant en laisse.

    Pour éviter les mauvaises expériences autant que possible, restez toujours un minimum attentif à votre chien, aux autres chiens, aux passants, à la circulation, ou peu importe ce qu’il y a autour de vous (et même quand il n’y a « rien » autour de vous, il faut rester un minimum attentif !).

    Quelle longueur de laisse choisir ?

    Une longueur de laisse de 1 m, c’est une bonne longueur pour les promenades dans des environnements dangereux pour nos chiens, comme un centre-ville animé.

    C’est trop long pour une promenade dans un centre-ville grouillant et trépidant (et ça traîne par terre !)

    1 m ou 1 m 20, c’est une bonne longueur pour apprendre à marcher en laisse.

    Une laisse d’une longueur de 1,20 m, c’est bien avec un chiot. Si vous ne savez pas du tout quelle longueur de laisse choisir, prenez une laisse de 1,20 m. C’est bon pour apprendre la marche en laisse et faire quelques répétitions. Par exemple, si vous voulez que votre chiot ou chien connaisse « assis » ailleurs que dans la salle à manger, il faut aussi s’y mettre dehors sans trop tarder ! Vous pouvez faire pas mal d’exercices dehors avec une laisse de 1,20 m (même 1 m). 

    1,80 m est une bonne longueur dans un environnement plus zen. Il faut s’entraîner à la manipuler car trop longue, une laisse peut traîner par terre et il y a alors le risque que votre chien se prenne les pattes dedans.

    La laisse en cuir

    On trouve des laisses en cuir en différentes longueurs, généralement jusqu’à 1,80 m/2 m, et différentes largeurs et couleurs. Les laisses en cuir, c’est joli pour ceux qui emmènent leur chien à des événements canins divers et variés. D’ailleurs, elles sont parfois présentées comme des laisses d’exposition (pour les expositions canines).

    Pour ceux qui veulent un peu d’esthétique (oui vous avez le droit) et n’ont rien contre le cuir ni contre payer un peu plus cher.

    Beaucoup de professionnels recommandent de privilégier les laisses tressées plutôt que plates.

    Une laisse en cuir tressé ne risque pas de se découdre.

    Plus le chien est grand, plus la laisse en cuir doit être large.

    C’est chouette une laisse en cuir mais la raccourcir, si besoin, n’est pas facile.

    La laisse courte

    La laisse courte ne fait pas plus de 50 cm. Elle se présente comme une poignée (pas de chaîne ou sangle) quand elle mesure 30 cm. En cuir ou en nylon, elle est destinée à faire marcher son chien au pied. Son grand chien. Son grand chien qui marche déjà bien au pied.

    Une laisse très courte est parfois bien pratique mais ne devrait pas être la solution quotidienne et permanente à vos problèmes de marche en laisse.

    Pour les promenades de tous les jours, elle ne laisse pas la moindre liberté au chien qui aime naturellement renifler des trucs et des machins et qui ne marche pas en ligne droite aussi aisément que nous.

    Il vaut mieux avoir une laisse courte et une laisse longue. Sinon, pour la vie quotidienne, les laisses rétractables peuvent permettre d’éviter de changer de laisse ou de longueur de laisse en cours de sortie.

    La laisse à enrouleur

    La laisse à enrouleur est une laisse qui s’allonge et se rétracte automatiquement.

    Ce chien est promené avec une laisse à enrouleur.

    Quand votre chien avance plus vite que vous, ça se déroule automatiquement. Il s’arrête ou ralentit et vous vous rapprochez de lui : ça s’enroule automatiquement. En fait, c’est toujours tendu. Sauf si vous bloquez le dérouleur à une longueur trop importante (ou qu’il se bloque dans un vêtement trop ample ou une écharpe, c’est possible).

    Vous pouvez le bloquer en appuyant avec le pouce et en maintenant le pouce appuyé, puis vous relâchez. Avec cette laisse, vous n’utilisez plus vos mains mais votre pouce. Vous pouvez aussi enclencher le mécanisme qui va bloquer le dérouleur, sans que vous n’ayez à maintenir le pouce appuyé.

    La marque leader de laisses à enrouleur s’appelle Flexi. La gamme « New Classic » (qui semble avoir remplacé la gamme Classic) propose deux types de laisses rétractables : avec cordon ou avec sangle.

    Avec cordon, les poids maxi des chiens vont jusqu’à 20 kg (XS jusqu’à 8 kg, S jusqu’à 12 kg, M jusqu’à 20 kg). Avec sangle, ils vont jusqu’à 50 kg (XS jusqu’à 12 kg, S jusqu’à 15 kg, M/L jusqu’à 50 kg). Mais pour choisir la taille, certains d’entre nous doivent aussi se baser sur la force avec laquelle il tire, s’il arrive que le chien tire.

    Quant aux longueurs maximales elles sont de 3, 5 ou 8 m. Et 10 m pour la laisse Flexi Giant, pour les grands chiens.

    La laisse à enrouleur ne convient pas à tous les chiens.

    Voici quelques conseils pour éviter les problèmes avec la laisse à enrouleur ; elle :

    • n’est pas adaptée pour apprendre à votre chien à bien marcher en laisse
    • ne convient pas aux chiens qui tirent constamment en laisse
    • ne convient pas aux chiens qui n’ont pas appris à vous suivre
    • ne convient pas aux chiens qui n’ont pas appris à s’arrêter quand vous le leur demandez
    • ne convient pas aux chiens qui ne reviennent jamais quand vous les appelez

    Je vous conseille de régler vos éventuels problèmes de comportements à l’extérieur avant d’envisager une laisse à enrouleur.

    Je devrais aussi ajouter que la laisse à enrouleur n’est vraiment pas faite pour la ville grouillante et trépidante ou les endroits animés, ni pour les endroits confinés (par exemple chez le vétérinaire).

    Ah oui et aussi, elle :

    • n’est pas faite pour faire courir votre chien
    • doit être constamment tendue et ne jamais traîner sur le sol
    • ne doit jamais être saisie de la main

    Non l’accessoire lui-même n’est pas dangereux. Oui l‘utilisation que l’on en fait peut causer des problèmes.Apprenez d’abord à votre chien à « bien » se comporter en promenade et si les lieux le permettent, lui et vous pourrez apprécier ce système. 

    Prévoyez un petit temps d’adaptation pour une bonne utilisation après des mois (ou des années) de laisse « normale ».

    La longe

    C’est un cordon plus ou moins fin, ou une sangle plus ou moins large, qui mesure généralement entre 5 et 15 mètres. La longueur dépend de ce que vous voulez faire avec et des lieux de ballades.

    Elles ont souvent des couleurs flashy pour bien les voir quand elles traînent au sol. Vous tenez la longe grâce à une dragonne. Votre chien peut vaquer à ses occupations sans vous avoir sur le dos mais c’est juste une façon de parler : puisque votre chien a désormais la possibilité de s’éloigner de vous à au moins 5 mètres, ce n’est pas le moment de le lâcher des yeux.

    D’ailleurs, il faut faire attention à ce que votre chien n’aille pas se faufiler dans un endroit où vous ne pouvez pas le récupérer ou qu’il ne se prenne pas les pattes dedans (ou que vous ne vous preniez pas les pieds dedans ou quelqu’un qui passait par là…).

    La longe n’est pas plus adaptée que la « liberté totale » s’il faut parfois vite rappeler votre chien et qu’il ne revient pas. Vous prenez trop de risques. Le temps que vous enrouliez ou repliiez le cordon… de l’eau a coulé sous les ponts…

    Chien attaché à une longe.

    C’est pourquoi, il vaut mieux avoir appris à votre chien à revenir quand vous l’appelez avec une longe pas trop longue ou une longe que vous raccourcissez (sans jamais vous ligoter donc pas autour du poignet !). Et puis progressivement, il revient quand il est à 2 mètres, à 5 mètres, à 10 mètres… Lorsque l’on ne dispose d’aucun lieu suffisamment sécurisé pour s’exercer à rappeler son chien, une longe c’est bien pratique. 

    Toutefois, la longe peut nous inciter à ne jamais détacher nos chiens. Quand c’est pas possible, c’est pas possible. Mais parfois, c’est possible… et comme on ne fait que des rappels en longe depuis x temps, on n’ose pas franchir le cap.

    A moins que vous ne sortiez votre chien que sur la plage ou en rase campagne, la longe est rarement adaptée aux sorties quotidiennes. C’est trop long et la manipuler est fastidieux. La longe est un bon compromis entre la liberté totale et pas de liberté du tout dans les endroits adaptés. Mais la longe n’est pas faite pour faire courir votre chien.

  • Constat: 10 ans après avoir banni les Pit Bull de Toronto, y a t-il moins de morsures de chiens?

    “Les pit-bulls de Toronto ont presque disparu. Alors pourquoi y a t-il plus de morsures de chien que jamais?

    En 2005, suite à de nombreuses inquiétantes attaques de chiens, l’Ontario a adopté une loi visant à supprimer définitivement les pit-bulls – et les chiens qui ressemblaient à eux – de la province.

    La loi ne va pas jusqu’à une interdiction totale, au moins à court terme, mais a une certaine distance dans cette direction. Selon la loi, quatre races (les terriers de pitbull, terriers Staffordshire, bull-terriers Staffordshire et américains terriers de pitbull) devaient être tenu en laisse ou muselés en public et stérilisé dans les deux mois suivant l’adoption du projet de loi.

    Il est également devenu illégal de les importer dans la province. Les quatre races sont souvent désignés ensemble comme «pit-bulls».

    “Au fil du temps, cela signifiera moins d’attaques de pit-bulls et, globalement, moins d’attaques de chiens dangereux,” dit alors le procureur général Michael Bryant la législature de l’Ontario en 2005.

    Bryant n’a pas répondu à une demande d’entrevue.

    La loi a certainement réussi à morsures causées par les quatre races concernées – Toronto a enregistré seulement 19 en 2014, contre 112 en 2005.

    Pas étonnant, car il y a beaucoup moins pour mordre – il n’y a que 338 enregistrés à Toronto en 2014, contre 1.411 en 2005. En outre, puisque les chiens devaient être incapables de se reproduire à partir de 2005, le reste sont les chiens ages. Peu à peu, ils sont en train de mourir sans être remplacé. Ils devraient cesser d’exister dans la ville d’ici 2020 ou, du moins en théorie.

    Cependant, la Toronto Humane Society (SPA) voit encore un occasionnel chiot pit bull faire son entree chez eux, dit le porte-parole Tegan Buckingham.

    Ce qu’il n’a pas réussi à faire est de réduire le nombre total de morsures de chien (même si elle avait l’air de cette façon pendant un certain temps). Les morsures de chien rapportés de Toronto ont augmenté depuis 2012, et en 2013 et 2014 ont atteint leur plus haut niveau de ce siècle, alors même que les pit-bulls et les chiens semblables approchent une extinction locale.

    tableau pitbull morsure

    La courbe violette représente les pitbulls légaux
    La courbe verte représente le total des morsures canines
    La courbe rouge représente les morsures des pitbull légaux

    Lorsque l’interdiction de l’Ontario a été débattue en 2004 , des avis partagés entre ceux qui ont vu les pit-bulls comme unique danger, et ceux qui soutenaient que tout gros chien pourrait être très dangereux , si elle est maltraité ou éduqué à être violent.

    ” Je ne suis pas du tout surpris par ces statistiques », dit Parkdale-High Park MPP Cheri DiNovo , un adversaire des interdictions aux races spécifiques . ” Je pense qu’ils étaient inévitables . ”

    DiNovo favorise un système plus comme Calgary, où les responsables politiques évitent les interdictions en fonction de la race et favorisent l’éducation des propriétaires et des enfants, combiné avec un respect. Les morsures de Calgary ont chuté de façon spectaculaire depuis le milieu des années 1980.

    «La loi actuelle ne fonctionne pas, et, heureusement, nous obtenons les statistiques pour appuyer cela. Quiconque a été sur cette question depuis longtemps sait qu’il est un échec prévisible »

    Les statistiques de morsure de chien de Toronto sont basées sur les rapports que les médecins qui traitent les morsures sont tenus de déposer , dit Mary Lou Leiher , un gestionnaire de programme au département des services des animaux de la ville .

    Les morsures de bergers allemands ( n ° 4 de chien de Toronto , après Labradors , Shih Tzu et golden retrievers ) étaient les plus fréquentes en 2004 et 2014. Les morsures de pit-bulls et Staffordshires étaient moins fréquentes en 2014 que dix ans plus tôt , mais les morsures de bouledogues et les boxeurs américains étaient plus fréquentes .

    tabbleau chien morsure

    Les morsures reflétées dans les données varient en gravité :

    «Les gens ont d’attraper une maladie suite à la morsure d’un animal , donc pas besoin d’être severe pour aller chez le médecin », explique Leiher .

    La race du chien incriminé dans les données ville de morsure est basée sur ce que le propriétaire , ou d’un enquêteur de la ville, dit qu’il est. Il n’y a eu aucun changement de procédure au cours des dernières années, qui y causent d’être plus de rapports de morsure hors de proportion avec les piqûres réels , dit-elle .

    ” Nous aimerions voir l’interdiction de pit bull levée », dit Buckingham . ” Parmi ceux qui viennent dans les refuges , la majorité sont les chiens les plus doux . ”

    Dans le même temps , ils sont expédiés dans des refuges au Québec .

    En 2012, l’ Ontario Veterinary Medical Association estime que la loi a conduit à plus de 1.000 chiens et chiots en Ontario ayant été inutilement euthanasies. ”

    Source: GlobalNews.ca

    Que faut-il retenir?

    Contre les morsures canines, l’éducation des maîtres est une solution qui fonctionne contrairement au bannissement de certaines races.

     

    aerticle d'origine : http://solutionscanines-blog.com/wordpress/10-ans-apres-avoir-bannis-les-pit-bull-a-toronto-y-a-t-il-moins-de-morsures-de-chiens/

  • Amener son chien au bureau

    Spécialiste des nouveaux médias et du divertissement, Moment Factory est une des rares sociétés québécoises à permettre à ses employés d’emmener toutou au bureau.

    Un exemple inspirant

    Véritable fourmilière de créateurs, Moment Factory accepte les chiens dans ses locaux depuis 2006. Il a suffi qu’un de ses dirigeants se présente un matin avec son chien pour créer un agréable précédent. Aucune politique n’a été instaurée, personne ne s’est insurgé et, depuis, ces travailleurs atypiques bossent en tandem avec leurs maîtres.

    L’aménagement des lieux se prête bien à cette cohabitation parce que, à part quelques bureaux fermés, un vaste espace ouvert sert d’aire de travail. De plus, comme les heures de travail n’ont vraiment rien de convenu, c’est un arrangement qui plaît à tous.

    À l’heure actuelle, ils sont une dizaine de compagnons poilus à se pointer plus ou moins assidûment au bureau. Violaine Boucher, responsable des communications, est catégorique: «La présence des chiens diminue le niveau de stress au travail en plus de favoriser les relations entre les employés.» Souvent, un câlin à toutou se transforme en brin de jasette avec son maître!

    Selon elle, les avantages pour les employés qui ont un chien sont inestimables: ils n’ont plus à s’inquiéter du temps que le chien passe seul à la maison, surtout lorsqu’ils doivent faire des heures supplémentaires.

    article d'origine : http://fr.canoe.ca/artdevivre/animal/chiens/comportement/archives/2016/01/20160106-112040.html

  • BÉBÉ À VENIR… ET LE CHIEN DANS TOUT ÇA?!?

    L'arrivée d’un bébé est un très grand moment dans notre vie et nous devons nous préparer progressivement aux changements qui s’opèrent. Il en va de même pour le chien, qui a probablement déjà détecté les hormones de grossesse de son humaine bien avant qu’elle passe son premier test. Trop souvent, les gens interviennent quand ils sont en plein dedans, soit en immersion totale avec l’excitation et tout ce que peut amener un nouveau-né. L’idéal est de profiter des 9 mois à venir pour préparer progressivement tout ce beau monde et d’éviter de se retrouver dans la gamme d’émotions après l’accouchement

    Laissez-moi vous dire qu’en 9 mois, vous avez amplement le temps de réaliser bien des choses, mais le temps passe très vite! Paroles d’une toute nouvelle maman! Alors, commençons dès maintenant.

     

    Préparez-vous à l’arrivée du bébé en famille

    Dès le premier trimestre passé, vous commencerez certainement à annoncer la bonne nouvelle ainsi que faire quelques petits achats. Certains vont changer de décor et transformer la maisonnée ou le logis. Il est important d’inclure le chien dans ces changements. Empêcher ce dernier d’entrer dans la chambre du bébé à venir risque plutôt de provoquer une certaine frustration. Vous ne le savez peut-être pas, mais le chien ressent beaucoup vos changements, votre excitation. Il désire vous suivre partout et observer ce que vous faites. C’est tout à fait normal! Faites-le participer, faites-lui découvrir peu à peu les nouveaux meubles dans leur espace et récompensez les comportements calmes. Si vous avez un chien qui déplace beaucoup d’air dans la maison, assurez-vous d’opter pour des meubles solides sur leurs pattes. Installez-les en place avant l’arrivée du bébé permettra à votre compagnon de s’habituer à cette nouveauté dans son environnement. Ce n’est pas quand bébé sera là qu’il faut tout chambouler dans la maison, car ça vous demandera beaucoup plus d’énergie et de gestion. Si vous avez un gros chien, vous risquerez d’avoir un curieux trop enjoué qui fera basculer un meuble. Si vous avez un petit chien, il voudra peut-être sauter partout pour être à la hauteur de la situation et voir ce qui se passe de nouveau.

    Amusez-vous en lui faisant découvrir ce qu’il y a dans les sacs que vous rapportez à la maison, comme les vêtements ou les articles du bébé. Ainsi, vous éviterez un museau curieux d’aller fouiner partout en votre absence à la recherche des nouveautés si attrayantes dans la chambre.

    Planifiez vos prochaines promenades

    Vous et votre chien prenez certainement des ballades tous les jours, mais il y aura quelque chose de nouveau dans les prochains mois, soit la poussette. Certains chiens peuvent avoir peur de cette dernière au simple bruit que font les roues sur le sol. Souvent, juste le fait de promener la poussette d’une pièce à l’autre dans la maison suffit au chien pour l’habituer à cette nouveauté. Il en va de soi pour la coquille que vous pouvez laisser par terre plusieurs jours dans différentes pièces ou sur différents meubles. Le chien en profitera certainement pour la renifler quelques minutes et s’en  désintéressera assez rapidement. Nous voulons que la coquille ne soit plus un secret bien gardé, une nouveauté trop excitante pleine d’odeurs lorsque vous arriverez avec votre trésor à la maison.

    Contrairement à nous, il faut comprendre que les chiens sont des êtres très olfactifs. L’odorat est primordial chez le chien et il a besoin d’explorer quand il arrive dans un nouvel environnement. Il y a aussi les nouveautés qui entrent dans la maison qui sont intrigantes à découvrir. C’est une manière pour lui de se rassurer et de participer à ce qui se passe dans son environnement immédiat. Une maison ou un logis dans lequel il passe la majorité de son temps en votre absence. Donc, il est normal de vouloir être au courant des dernières nouveautés. Il ne s’agit pas de contrôle ou de territorialité, mais plutôt de sécurité et de curiosité.

    Une fois votre chien habitué à la présence de la poussette, pourquoi ne pas en profiter pour faire une balade à l’extérieur?!? Si votre chien présente une crainte face à la poussette ou au bruit des roues, il est toujours préférable de commencer progressivement à l’intérieur en récompensant votre chien quand il approche de la poussette. Ne le forcez JAMAIS à vous suivre par la contrainte. Encouragez-le plutôt à venir à votre rencontre en gardant une certaine distance entre vous et la poussette et récompensez toutes les tentatives de rapprochement. Cela peut prendre quelques jours avant que votre chien soit à son aise, mais plus vous respecterez le rythme de votre chien, plus il sera facile pour vous de le désensibiliser.

    Une fois que vous sentez que votre chien est à l’aise à côté de la poussette, vous pouvez tenter l’expérience à l’extérieur, toujours avec des gâteries ou un jouet pour rendre l’expérience des plus agréables. Dans le meilleur des mondes, vous pouvez même donner une nouvelle tâche à votre compagnon, soit d’apporter lui-même son jouet ou ses choses dans un petit sac à dos prévu à cet effet. Votre chien sera très content de promener bébé le moment venu et il sera prêt en même temps que vous pour une petite remise en forme après l’accouchement.

    Procurez au chien une zone neutre

    Une zone neutre est une zone exclusive au chien, un lieu de repos et d’apaisement où il peut se retirer pour se reposer, se calmer. Peut-importe la surface (coussin, tapis, cage, sol…), le chien doit avoir un endroit à lui où il y trouvera confort. Cet endroit doit être dépourvu d’achalandage, doit être accessible en tout temps pour lui permettre d’y trouver refuge ainsi qu’en sortir à sa guise. Ainsi, lors de moments plus difficiles, vous pourrez proposer à votre chien de se retirer et d’aller se reposer. Cet endroit ne doit jamais servir à la punition et doit être payant pour lui procurer un sentiment de bien-être et non l’inverse. Nous avons tous besoin d’un lieu où se recueillir ou pour décompresser, le chien aussi! Malgré tout, il se peut qu’il tienne mordicus à vous suivre partout dans les débuts, mais il ne faut pas hésiter à lui proposer d’aller se reposer avec un os à mâchouiller ou un jouet. Parfois, ils ont besoin d’un petit coup de pouce pour comprendre qu’ils n’ont pas besoin d’être toujours avec nous. Ils apprennent ainsi à mieux gérer leur stress et à développer une certaine indépendance.

     Profitez de votre retrait préventif ou de votre congé pour vous préparer

    Certaines femmes passeront le dernier trimestre de leur grossesse à la maison. C’est le temps idéal pour préparer la venue du bébé tout en incluant le chien dans vos démarches. Pour celles qui ont plus de temps, s’amuser à apprendre des trucs à son chien est une occasion merveilleuse de resserrer les liens. Voici quelques exemples de choses que vous pouvez apprendre à votre compagnon pour le plaisir et le défi:

    • Balancer la chaise berçante ou la chaise sauteuse
    • Ranger les jouets du bébé dans un coffre
    • Ramasser un truc qui est tombé par terre
    • Fermer ou ouvrir une porte
    • Toucher des objets avec son museau
    • Cacher son museau avec sa patte lorsque vous changez la couche

    Il y a des milliers de trucs que vous pouvez apprendre à votre chien qui vous aidera dans votre quotidien. Amusez-vous à épater les proches et la visite, ça leur permettra d’être moins craintifs pour tout ce qui concerne la présence du chien avec le nouveau-né.

    Faites jouer des sons de bébé

    Vous le savez déjà, votre compagnon à quatre pattes a les oreilles bien plus sensibles que les vôtres aux sons. Imaginez sa réaction devant un bébé qui pleure pendant des heures… Heureusement, il existe aujourd’hui beaucoup de moyens afin de préparer les oreilles de Fido aux sons de bébé. Faites aller vos doigts sur YouTube et cherchez des vidéos avec des gazouillis et différents pleurs pour amorcer une désensibilisation. Commencez avec un volume faible et augmentez graduellement en notant la réaction du chien. Si ce dernier s’énerve au moindre pleur, y aller graduellement et, encore une fois, récompenser tous les comportements désirés. Ne forcez JAMAIS le chien à rester dans la pièce s’il désire fuir le bruit. Demandez-lui plutôt de joindre sa zone neutre et récompensez-le. Pratiquez cet exercice à différents moments dans la journée. Certains chiens peuvent être moins patients en soirée et c’est tout à fait normal. Qui ne l’est pas à la fin d’une journée bien remplie?!? La zone neutre vous sera très utile à ce moment.

    Il en va de même pour les jouets du bébé avec des sons intrigants ou effrayants. Faites-les jouer de temps à autre dans différentes pièces, dans différentes situations et récompensez toujours les comportements désirés. Ainsi, vous aurez un chien moins anxieux en présence de tous ces nouveaux stimuli. Le but de ces exercices est de généraliser, en simulant toutes les situations possibles, pour éviter une trop grande réaction lorsque vous n’aurez peut-être pas la patience d’intervenir comme il se doit.

     Soyez conscient qu’il y a toujours un risque

    Certes, à moins que votre chien ne soit déjà en contact avec de très jeunes enfants, voire des bébés, vous ne savez jamais comment il peut réagir. Même si vous connaissez parfaitement bien votre compagnon canin, il ne faut JAMAIS lui laisser la responsabilité de veiller sur un enfant ou un bébé. Ce dernier n’est certainement pas mal intentionné, mais il peut parfois être très maladroit. De plus, le bébé ou un enfant en bas âge n’a pas la cognition pour être responsable de sa sécurité et du risque de dangerosité. Sa psychomotricité fine n’est pas développée pour lui permettre des contacts de qualité avec le chien sans faire mal à ce dernier (tirer les oreilles, mettre son doigt dans un œil, écraser sa queue en marchant dessus, caresser trop fort…). Il ne faut pas mettre l’animal dans une situation stressante où il atteindra une limite de tolérance zéro, car plus ses signaux d’apaisement seront ignorés, plus vite arrivera la morsure. Rappelez-vous, le but n’est pas d’exclure votre compagnon, mais de lui permettre de vivre avec vous ce moment et surtout, lui permettre de faire une association très positive avec l’enfant. Trop souvent, les gens réprimandent les comportements du chien en présence du bébé. Dans de telles circonstances, il n’en faudra pas beaucoup pour comprendre que la présence du dernier de la famille n’est pas profitable, voire même négative. Apprenez-lui plutôt à bien se comporter (s’asseoir ou se coucher à vos pieds lorsque vous avez le bébé dans vos bras) et récompensez toujours les bons comportements. Ne forcez JAMAIS un chien à collaborer, ça ne fera qu’engendrer un stress ainsi qu’un faux état de calme.

    Il y a des chiens qui ne sont pas faits pour vivre avec des enfants. Parfois, nous devons replacer ces derniers dans une autre famille, mais ce sont des cas d’exception.

     Pensez à votre retour à la maison

    Préparez une petite mise en scène en prévision de votre arrivée de l’hôpital vous sera d’une grande aide. Certaines femmes ne seront de retour à la maison qu’après quelques jours d’absence. Imaginez le niveau d’excitation de votre compagnon canin lors de votre retour. Selon le cas, il n’est certainement pas raisonnable d’entrer dans la maison avec le petit dans les bras. Je conseille fortement à la maman d’entrer en premier et de prendre quelques minutes seule avec le chien pour qu’il puisse vous retrouver, vous sentir et se calmer. Souvent, une quinzaine de minutes maximum suffisent. Après cette période d’excitation passée, le conjoint ou l’accompagnateur peut entrer dans la maison avec le bébé. Il est préférable de laisser ce dernier dans sa coquille (le chien connait déjà cet objet, mais pas ce qu’il y a dedans). En temps normal, le chien aura tendance à se mettre le museau dans la coquille. C’est pour cette raison que je demande aux parents d’installer la coquille en hauteur, sur un niveau stable, et de prendre le bébé dans leurs bras. Ensuite, je permets au chien de renifler la coquille par terre pour qu’il puisse sentir. Si votre chien est calme, profitez-en pour lui présenter le bébé. Toutefois, n’imposez JAMAIS le visage de votre progéniture vers le chien. Faites-lui plutôt sentir le popotin, comme lors d’une bonne rencontre avec d’autres amis canins.

     Apprenez à observer votre chien et demander de l’aide

    Vous connaissez certainement mieux que quiconque votre chien, mais il n’y a rien de mieux qu’être appuyé dans ses démarches avec l’aide d’une personne externe à votre situation, car elle sera plus objective que votre entourage. Il est tout à fait normal de se poser des questions et de parfois n’y trouver aucune réponse. Un bon éducateur ou coach en comportement canin vous aidera à observer votre chien sous un autre angle dans son environnement (sa position dans l’espace, les signaux d’apaisement, les signes de tension ou de relaxation, sa respiration…), car son corps est un langage riche qui reflète son état émotionnel. Vos observations et un travail commun vous aideront à mieux comprendre ce qui se passe pour mieux aider le chien à gérer son stress ou tout simplement encourager un véritable état de calme.

    Fanny Mahingan Peltier

     

    article issus : http://encompagniedeschiens.ca/

  • SÉLECTIONNER UN CHIOT DANS UNE PORTÉE

    Votre décision est prise, vous allez accueillir un chiot. Malgré votre impatience de le voir arriver chez vous, vous devez prendre le temps de choisir le bon. Il serait regrettable de vous rendre compte quelques semaines plus tard que vous avez fait le mauvais choix.

     

    La disponibilité

    Quand vous vous rendez dans un élevage, il y a de fortes chances que tous les chiots de la portée ne soient pas disponibles. Il se peut que certains soient déjà réservés mais aussi que l’éleveur décide d’en garder. Si lors de vos visites, les chiots rencontrés ne correspondent pas à vos attentes, ne cédez pas à la tentation d’en prendre un à tout prix.

    L’état de santé

    Il faut prendre le temps d’étudier, d’examiner chaque chiot de la portée. Cela vous permet de voir s’ils sont en bonne santé. Regardez notamment la qualité de leur pelage, leurs oreilles, leurs yeux, leurs réactions, leur vivacité.

    Il faut également vous assurer que le chiot qui vous intéresse entende bien. La meilleure façon de procéder est d’attendre que le chiot ne vous regarde pas et de taper dans vos mains pour observer sa réaction. S’il entend bien, il doit réagir immédiatement.

    Avant d’arrêter votre choix

    Votre choix est fait, vous avez craqué pour un chiot ! Avant de l’adopter, demandez-vous une dernière fois si son comportement, son caractère correspondent bien à votre mode de vie et si vous êtes en mesure de lui consacrer assez de temps pour qu’il puisse être épanoui et équilibré. Un chien vit en moyenne 12 ans et partagera chaque jour de votre quotidien. N’hésitez pas à vous renseigner sur le caractère de la race choisie et également de demander à l’éleveur comment se comporte ce genre de chien.

    N’adoptez pas un chiot si :

    • Vous n’avez pas vu les parents au préalable. Il est impératif de savoir à quoi va ressembler votre chien plus tard.
    • L’éleveur n’est pas en mesure de vous présenter le carnet de santé et de vaccination du chiot.
    • L’éleveur ne sait pas répondre à vos questions.
    • L’environnement dans lequel évolue les chiots n’est pas propre.

    Sélectionner un chiot, les réponses à vos questions :

    Article issus : http://www.toutoupourlechien.com/selectionner-un-chiot-dans-une-portee.html

  • Les 6 positions de « dodo » de votre chien !

    C’est parti pour une longue balade intense et pleine de rebondissements, au milieu de la campagne, ou au parc du coin.

    Vous rentrez vous calfeutrer dans votre salon. Un feu y crépite. Votre chien s’effondre de tout son corps velu sur le tapis à poils longs… Mais comment est-il allongé exactement ? Que cela signifie-t-il ?

    Figurez-vous que selon la façon qu’ils font dodo, c’est significatif de leur personnalité ! Voici un petit guide pour décrypter la façon de dormir de votre chien ainsi que sa personnalité.

     

    1. CELUI QUI DORT SUR LE CÔTÉ

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    Beaucoup de chiens aiment dormir sur le côté. C’est une position idéale pour eux afin de se reposer totalement. Si votre chien a tendance à dormir sur le côté, cela signifie qu’il est très à l’aise avec son environnement.

    Il est sûr de lui, il prend soin de sa fourrure (toilette), il est heureux, joyeux et loyal. Et, bien que votre chien puisse dormir dehors et surveiller la propriété, il adore que vous preniez le plus souvent soin de lui et que vous le laissiez dormir à l’intérieur. Car il a un énorme sentiment de confiance en vous.

    2. LA POSITION DU RENARD

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    La position recroquevillée est très probablement la plus commune. Les pattes de votre chien seront confortablement à l’abri sous son corps et sa queue l’enveloppera (pour les plus longues jusqu’au museau).

    En position « du renard », votre chien cherche à se protéger du froid. Ou du moins à conserver le plus possible de sa chaleur corporelle. Les chiens qui dorment dans cette position sont doux, faciles à vivre et affectueux.

    3. LE SUPER-CHIEN

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    Beaucoup de chiens dorment sur le ventre. En étirant de cette manière ses quatre pattes, la tête posée sur le sol entre les deux pattes avant, ils tentent de se souvenir ou d’imaginer ce que ça fait de voler. C’est un peu la position de somnolence.

    C’est-à-dire que si vous appelez votre chien, dans cette position il n’aura aucun mal à démarrer au quart de tour pour vous rejoindre au plus vite ! Une personnalité canine qui a tout à voir avec l’excitation, le besoin de jouer et d’être stimulé par son entourage, la motivation, l’envie de prouver…

    4. JAMBES-EN-L’AIR

    4

    Une position légèrement étrange… Mais il n’y a vraiment pas de quoi se préoccuper. Si votre chien dort de cette façon, c’est qu’il a une énorme confiance en lui, qu’il est indépendant et qu’il se sent en sécurité là où il vit. C’est parce que c’est la position la plus vulnérable pour un chien. Être sur le dos n’a rien de naturel pour lui.

    Un loup à l’état sauvage ne dormira jamais, ô grand jamais, sur le dos. Cela envoie un message de vulnérabilité, presque de soumission… à ses congénères.

    5. CELUI QUI DORT SUR LE VENTRE

    5

    Les chiens qui dorment dans cette position ne sont pas aussi détendus que ceux de la catégorie précédente. Leurs muscles sont encore trop tendus pour leur permettre de dériver petit à petit dans un sommeil paradoxal.

    Votre chien, s’il dort comme ça, est sûrement un animal très énergique, aventurier, prenant du plaisir à vivre les choses… Il est doux mais un peu timide.

    6. CELUI QUI FAIT LE MORT

    6

    La position « évanoui » ou « mort » est très employée par les chiens d’intérieur. Un chien va dormir sur le dos pour refroidir progressivement son ventre et ses pattes après avoir fait un effort physique. Votre chien, s’il dort de cette manière, a sûrement peu l’habitude du « sport » et se retrouve en « surchauffe ». Ou sinon il vient de vivre une journée remplie (au niveau de l’activité) comme il n’en avait pas connu depuis longtemps.

    Cette position de repos indique également que votre chien se sent bien, qu’il est détendu et sûr de lui. Mais surtout, qu’il est adaptable à tout un tas de nouvelles situations ! C’est un chien caméléon !

    Alors, votre chien dort comment ?

    article issus : http://topretrievers.com/

  • un animal c'est bon pour la santé de vos enfants ?

    Avoir un animal domestique serait bénéfique pour la santé des enfants. Selon une récente étude, le fait d'avoir un chien aide à réduire le risque d'asthme chez les jeunes enfants.

    La recherche suggère que grandir avec un chien ou un chat est bon pour les enfants. Une étude, publiée la semaine dernière dans JAMA Pediatrics, conclut que les enfants qui ont eu un chien dans les premières années de leur vie sont 13% moins susceptibles de développer de l'asthme vers l'âge de 6 ans, que les enfants qui grandissent dans des ménages sans animaux domestiques.

    L'enquête a utilisé un registre suédois qui contient les données de plus d'un million d'enfants. Ils ont constaté que les enfants qui grandissent dans les fermes et côtoient les animaux quotidiennement avaient 50% de risques en moins d'avoir de l'asthme jeune. Ces résultats concordent avec l'hypothèse "hygiène", qui pense que les enfants sont plus susceptibles de développer des allergies s'ils grandissent dans des environnement "ultra-propres", explique le Dr Luisa Dillner, responsable du BMJ Group Research and Development, dans The Guardian.

    Les chiens offrent de meilleures protections que les chats

    Une étude menée sur 397 bébés finlandais, publiée dans la revue Pediatrics en 2012, avait déjà démontré que les bébés dont les parents possèdent des chiens ou des chats avaient moins de rhumes et d'infections aux oreilles. Ils avaient également eu moins besoin d'antibiotiques que les autres.

    Les chats et les chiens sont les animaux domestiques les plus communs. Il n'y pas de preuve tangible que les chats aident à réduire les allergies. Il semblerait que les chiens offrent de meilleures protections.

    De plus les animaux qui passent moins de six heures par jour au sein de la maison et sont souvent dehors offrent des effets plus protecteurs. Les scientifiques pensent que cela est dû au fait que l'environnement extérieur permet de mieux stimuler les défenses immunitaires de l'enfant.

    D'autres bénéfices

    En dehors de la santé, l'environnement général et la situation familiale bénéficient aussi de la présence d'un animal domestique. En effet, les animaux augmentent le temps passé en famille et la quantité d'amusement ressentie. Avoir un animal permet également aux enfants d'apprendre à se responsabiliser, à faire de l'exercice en le sortant (si c'est un chien par exemple), ainsi qu'à faire face à perte lorsque l'animal décède.

    Cependant, les bénéfices de santé ne justifient pas à eux seuls la présence d'un animal domestique. Il ne faut pas oublier qu'ils ont également leur inconvénients, notamment celui d'avoir des vers ou autres parasites.

    Article du site :http://m.levif.be/

  • URGENCES VETERINAIRES : Mon chien a mangé du chocolat

    ONDUITE A TENIR EN URGENCE :

    Notez l’heure supposée de l’ingestion, estimez la quantité ingérée et la nature du chocolat (cacao, chocolat noir ou au lait). Rendez-vous rapidement dans un service d’urgences vétérinaires.

    Les gestes à ne pas faire : si dans certains cas, provoquer le vomissement peut être utile, c’est un geste potentiellement à haut risque pour l’animal. La décision ne doit être prise que sur avis du vétérinaire.

    GRAVITE :

    Urgence vétérinaire vraie pouvant mettre en jeu la vie du chien.

    En revanche, avec une prise en charge précoce et adaptée, selon la quantité ingérée, le pronostic est généralement favorable.

    Il n’existe pas d’antidote spécifique.

    PRINCIPAUX SYMPTOMES ET MECANISMES D'ACTION :

    La toxicité du chocolat est due à la théobromine qu’il contient. Lecacao est très riche en théobromine. Viennent ensuite le chocolat noir puis le chocolat au lait. Le chocolat blanc n’en contient que des traces.

    En moyenne, chez un chien de 10 kg, l’ingestion d’environ 150 à 300 g de chocolat noir (ou de 50 à 150 g de cacao) peut être mortelle. Mais attention, il existe de fortes différences de sensibilité d’un chien à un autre.

    Les signes cliniques surviennent quelques heures après l’ingestion et l’évolution dure entre 6 et 24 heures.

    Une toxicité chronique cumulative est également possible et peut provoquer une dégénérescence du myocarde.

    Les principaux symptômes de l’intoxication au chocolat sont :

    • hyperthermie
    • troubles nerveux : agitation ou prostration, démarche hésitante (ataxie), convulsions, coma
    • troubles digestifs : diarrhée, vomissement, hypersalivation (ptyalisme), coloration noire des selles par le cacao, douleurs abdominales. Les signes digestifs sont généralement les premiers à apparaître.
    • troubles cardiaques et respiratoires : selon la dose et le stade, fréquence anormalement élevée ou diminuée, rythme irrégulier, respiration rapide
    • troubles urinaires : augmentation de la quantité d’urine produite (polyurie)

    QUEL VETERINAIRE CONTACTER : VETERINAIRE TRAITANT, VETERINAIRE A DOMICILE - CENTRE D’URGENCE VETERINAIRE, … :

    • Si votre vétérinaire traitant est ouvert, c’est bien évidemment l’interlocuteur privilégié.
    • En son absence, pour ce type d’urgence, une consultation sans délai dans un service d’urgence est indispensable. En effet, une surveillance vétérinaire prolongée doit être mise en place.

    HOSPITALISATION :

    Souvent nécessaire et même indispensable dans les cas graves. Selon la situation, l’administration d’anticonvulsivants, un lavage gastrique, une surveillance électrocardiographique, … peuvent être indispensables

    Article du site : http://www.fregis.com